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Auteur : Helka Winter – Edition Bookelis collection Artefact – Parution : 19/07/2013- 370 p – Prix : 16,90€ – Genre : SF, YA
Quatrième de couverture :
Timo vit dans un monde étouffant, hanté par les ombres du passé : sa mère partie trop tôt, sa sœur jumelle Anna disparue sans laisser de traces, son père dur et froid… Encore une journée comme les autres, pluvieuse et grise, à Darktown, cette ville qui les retient tous prisonniers.
Et pourtant, au détour d’une rencontre avec les Engels, un mystérieux groupe de contestataires, il comprendra qu’il a le pouvoir de modifier sa destinée.
Peu à peu se lèvera le voile qui dissimule les lourds secrets de la ville.
Mon ressenti :
Ma lecture avait plutôt bien démarré (oui ce n’est pas bon signe comme introduction). L’histoire s’annonçait comme celle d’une dystopie assez classique, avec comme héros Timo, un adolescent plutôt sympathique. Il y avait en fond une Londres glauque nommée Dark city, entourée de barrières géantes (tiens ça me fait penser à divergente). Mais à partir de la moitié du livre j’ai commencé à trouver sa lecture très pénible et fastidieuse.
Deux choses m’ont bloquée : l’histoire et l’écriture. L’histoire car elle part dans tous les sens. Il y a un monde dystopique, des androïdes, des rêves dirigés, des mondes parallèles auxquels on accède par télétransportation, un monde étranger auquel on accède par des portes, la mafia, des histories de familles, de nombreuses vengeances, une technologie : la turbine mais on ne sait pas du tout ce que c’est, du trafique d’organe, des archanges, des jumeaux, un mariage arrangé, une prophétie…. Tout ceci fait beaucoup de choses.
Et ce qui rend l’histoire encore plus bancale, c’est que le tout n’est pas bien lié. Il n’y pas de problème de syntaxe, mais un problème de rythme, d’enchaînement. Le tout est très haché et l’on passe son temps à être brinqueballé d’une scène à l’autre. Et ça finit par être pénible.
Au final, de bonnes idées, mais trop et pas assez ordonnées.
Vraiment à retravailler pour moi.
Vraiment à retravailler pour moi.
J’en garde un bon souvenir malgré le fait qu’il y ait effectivement beaucoup d’éléments qui se mélangent un peu!