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Auteur : Marie Liondor – Edition Calepin – Parution : 22/11/12 – 388 pages – Prix : 9,90€ – Genre : fantastique, romance
Quatrième de couverture :
« Il leva le bras et un silence soudain s’abattit sur eux,le vent cessa de souffler, les feuilles s’immobilisèrent et tout se figea dans une effrayante inertie. »
Qui donc est Robyn ?
D’où viennent ses dons exceptionnels ?
Ce sont les questions que se pose Manon en croisant la route de cet être angélique aux étranges yeux émeraude.
Mais lorsque la réponse lui apparaît, à la suite d’un terrible accident de la route, elle apprend que leur histoire a véritablement commencé il y a plus de deux siècles…
Mon ressenti :
Je suis bien embêtée pour faire cette chronique, car franchement, celle lecture s’est avérée pénible. Mais je me suis acharnée et je l’ai lu jusqu’au bout. 388 pages de « je ‘aime, moi aussi je ‘aime, je t’aimerais pour l’éternité », ça ne fait pas une histoire. Si bien que l’auteur meuble en détaillant des petites scènes de la vie quotidienne, en ventant le mérite de la collocation pour faire des économies en vacances (c’est vrai, je n’y aurait jamais pensé…). Et quand le présent ne recèle plus de suspens (oui il s’aime, oui c’était un ange et ils ne peuvent pas être ensemble), le lecteur a le droit à la même histoire dans le passé ce coup-ci. Une ode à l’amuuuur platonique, parce que forcément mossieur est asexué.
J’ai donc trouvé qu’il y avait beaucoup de longueur et que l’écriture s’avérait très souvent naïve.
Difficile de croire dans le personnage de Robyn, car ce méchant démon de la tentation (ange déchu) a des actions du genre : faire acheté un gâteau à la crème. Ouh la la! Le méchant méchant démon. Quand à l’héroïne Manon, elle n’a qu’une amie, mais n’a pas peur d’être célibataire à 24 ans! Euh, franchement de nos jours le drame du célibat à 25 ans est passé de mode je crois.
Au final, je ne m’étalerais pas plus sur tout ce qui m’a déplu. Vous l’aurez compris je ne vous conseille pas cette lecture. Quand à savoir comment ce titre a atterri en catégorie générale c’est un grand mystère.
On ne sais jamais, il te plaira peut-être plus.
Ah mince… je l’ai dans ma PAL en plus
On ne sais jamais, il te plaira peut-être plus.