Quatrième de couverture :
How many hours are in a day when you don’t spend half of them watching television?
When is the last time any of us REALLYworked to get something that we wanted?
How long has it been since any of us really NEEDED something that we WANTED ?
The world we knew is gone.
The world of commerce and frivolous necessity has been replaced by a world of survival and responsibility.
An epidemic of apocalyptic proportions has swept the globe, causing the dead to rise and feed on the living.
In a matter of months society has crumbled: no government, no grocery stores, no mail delivery, no cable TV.
In a world ruled by the dead, the survivors are forced to finally start living.
J’aime beaucoup la série télé The walking dead, aussi, j’ai eu envie d’en découvrir les origines, le comics. Une lecture parfaite pour se préparer à Halloween. (En plus il est en anglais, une petite lecture en VO ça fait toujours du bien.)
Mon ressenti :
Étant très imprégnée de la série télé il est difficile de ne pas faire le lien avec ma lecture. J’ai trouvé que l’histoire dans le comics était beaucoup plus rapide que dans la série. Les rapports entre les personnages sont plus directs. L’auteur fait passer de façon très efficace le message qu’il souhaite transmettre : que fait-on quand notre cadre de vie, nos lois disparaissent ? Qu’en est-il de la place de la femme quand l’homme redevient le chasseur/protecteur ?Les zombies sont relégués au second plan pour laisser place à cette étude de société.
Les dessins sont très efficaces, en quelques esquisses, avec un regard, l’émotion passe, le sentiment est transmis. Les zombies en noir et blanc sont encore plus dégoûtants qu’en couleur. Les nombreuses mouches, qui les accompagnent, nous laissent imaginer la puanteur ambiante. Beurrrkkkk!
Le lecteur est obligé de sympathiser avec Rick qui se réveille au milieu de l’apocalypse entouré de zombies et sans information. Les dessins le rende aimable, attachant. autre personnage que j’ai apprécié : Dale, perché sur son camping-car (mais là je suis sûrement influencée par la série télé).
Au final :
je suis contente d’avoir lu ce comics. Même si de nombreux points convergent avec la série télé, d’autres ne sont pas identiques, le rythme est également différent, ce qui laisse augurée une autre façon de traiter l’histoire.