Death Note, tome 02 de Tsugumi Ohba & Takeshi Obata

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Scénario : Tsugumi Ohba, Dessin : Takeshi Obata – Editions Kana (Dark) – Parution : 01/02/2007 – Pages : 200 – Prix : 6,85 € – Genre : manga, shonen

 

Quatrième de couverture :

Light entend bien imposer au monde sa vision de la Justice ! De nombreux criminels sont morts après que leurs noms aient été inscrits dans le Death Note ! Alerté par ces morts étranges, le FBI enquête au Japon. Light fait partie des suspects mais, grâce au Death Note, il parvient à se débarrasser des soupçons qui pèsent sur lui.

Malgré cela, L, continue à suivre le jeune homme !

 

Après un tome 1 intrigant j’ai décidé d’en apprendre plus sur le Death note.

 

Mon ressenti :

L’histoire reprend là où le tome 1 s’était arrêté, comme s’il n’y avait pas eu de fin, de pause. On est donc replongé immédiatement dans l’univers très sombre de ce manga. Les grandes lignes de l’histoire ont été tracées dans le tome 1, dans ce tome 2 elle se développe. En parallèle de l’histoire générale, la personnalité des personnages est approfondie, détaillée. On en apprend plus sur ce fameux L., puis sur Light. Celui-ci est de plus en plus machiavélique. Il tue de plus en plus d’innocents pour parvenir à ses fins, le tout sans se questionner. D’une envie de créer un monde meilleur, il est arrivé à la volonté de devenir dieu. Il expérimente toutes les possibilités du Death note et son ingéniosité dépasse celle du dieu de la mort. Cette évolution laisse peu d’espoir pour lui. La fin n’en ai pas une, elle fait le lien avec le tome 3. Malheureusement je n’avais pas celui-ci sous la main.

Le dessin est toujours aussi travaillé. Les personnages sont détaillés, on comprend leurs sentiments grâce aux expressions de leur visage. A contrario, les lieux sont peu visible. Ceci est assez logique, avec un récit plus porté sur les personnages et leur psychologie.

Au final, une lecture toujours intéressante mais qui demande d’avoir la suite à portée de main. 

 n°49

Death Note, tome 01 de Tsugumi Ohba & Takeshi Obata

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Scénario : Tsugumi Ohba, Dessin : Takeshi Obata – Editions Kana (Dark) – Parution :18/01/2007 – Pages : 210 – Prix : 4,95€ – Genre : manga, shonen

Quatrième de couverture :

Light, un brillant lycéen, découvre le carnet d’un dieu de la Mort. Tous ceux dont le nom y est inscrit sont condamnés à mourir ! Un duel sans merci s’engage entre Light, le justicier, et L, un mystérieux enquêteur.

Je ne me rappelle plus où j’avais entendu parlé de ce manga, peut être sur Livraddict. Je me rappelle juste que les descriptions m’avaient donné envie de le lire et qu’il était « du genre A lire absolument ».

 Mon ressenti :

Dans ce manga on n’est pas du tout au pays de Candy. L’ambiance est très sombre et plutôt pessimiste. Que feriez-vous si vous aviez le pouvoir de vie et de mort sur les autres êtres humains ? Light, lycéen de 17 ans, ne s’est pas posé la question pendant très longtemps. Il a essayé le Death note, sans trop se poser de question. Son objectif : créer un nouveau monde en éliminant les criminels. Il s’octroie donc le rôle de juge et de bourreau. Et rien ne l’en empêchera, même pas les innocents. Etait-il mauvais au départ? Ou bien est-ce l’influence du Death note et du dieu de la mort qui l’accompagne? L’auteur le parti pris de l’humain et de son ambition. De quoi alimenter de nombreuses réflexions.

Le dessin est très travaillé, ce qui donne envie de lire le mange dès les premières pages. Il se maintient durant tout le manga ce qui est vraiment agréable.  Le texte n’est pas en reste. Je ne crois pas avoir déjà lu un manga aussi dense.

Il y a trois personnages principaux, Light le lycéen, le dieu de la mort et L. le mystérieux policier. Le comportement de Light est décrit sous toutes les coutures et l’on découvre à la lecture son caractère bien trempé. Le dieu de la mort reste très mystérieux, il prétend ne pas apporter d’importance à la réussite des plans de Light, mais est-ce bien la vérité ? Enfin, il y a L. qu’on ne voit que de dos. Il apporte son soutien à Interpole pour stopper Kira (Light). On se retrouve dans la position inversée de la scène classique du gentil qui doit affronter un méchant mystérieux, ici c’est du gentil qu’on ne connaît rien.

Au final, une lecture très intéressante, qui pose pas mal de question. Je me demande comment l’histoire va pouvoir évoluer. il ne me reste plus qu’à lire le tome 2.

D’autres avis chez : Snow, Tigger Lilly,…

n°1 n°45

En attendant Halloween : un peu de bricolage

Mince mince un goûter d’haloween à préparer à la dernière minute (ou un apéro) ? 

Les « printables » vont nous sauver!

Il faut s’équiper de papier de 160g, d’une bonne imprimante, colle, ciseaux, règle, des petits pique, un machinou pour découper des formes (je ne sais pas comment ça s’appelle), pailles, ficelles, bonbons!!!! Et c’est parti.

En fouinant sur internet on peu trouver des modèles sympas. Pour moi ce fût facile puisque j’ai participé à un atelier animé par Cristina de BirdsParty.fr lors de la rencontre Oh My blog à Toulouse.

Et voilà le résultat ! Il ne reste plus qu’à remplir les boîtes de bonbons!

J’adore la chauve-souris.

Sandman Slim, tome 1 de Richard Kadrey

En octobre 2014, Lunes d’encre fête ses quinze ans. A cette occasion, les éditions Denoël, dirigées par Béatrice Duval, donne la parole à 15 blogueurs via un challenge Lunes d’encre. Une seule règle :  publier en octobre 2014 un billet sur un auteur Lunes d’encre dont ils n’ont jamais parlé dans les colonnes de leur blog (le ou les ouvrages devront être disponibles, c’est la seconde contrainte).

Ma participation ayant été retenue j’ai choisi de lire et de chroniquer Sandman Slim, tome 1 de Richard Kadrey. J’ai envie de le lire depuis les Utopiales 2013 et sa présentation au prix Julia Verlanger. Le challenge m’a donc donné une bonne excuse pour craquer sur un grand format.


 

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Auteur : Richard Kadrey – Edition : Denoël, Collection : Lunes d’encre – Parution : 07/03/2013 – Pages : 361 – Prix : 23 € – Genre : Urban Fantasy

Quatrième de couverture : 

Victime de ce qu’il croyait être ses meilleurs amis, le magicien James Stark est expédié vivant aux enfers, où le général Azazel en fait un gladiateur puis un tueur à gages. Apprenant la mort de l’amour de sa vie, Alice, Stark arrache le cœur d’Azazel et revient chez lui avec trois objets magiques : une clé, un couteau et une pièce qui ne ment jamais. Si Stark est revenu chez les mortels, c’est évidemment pour se venger. Mais il lui faudra bien plus qu’un couteau, une clé et une pièce magique pour éliminer les membres du Cercle de magie et la véritable menace qui se cache derrière eux.

 Mon ressenti :

Première lecture de Richard Kadrey, je ne savais pas exactement à quoi m’attendre, mais j’en attendais quand même beaucoup, peut-être un peu trop.

On m’a vendu :

  • Du bad-ass : check on n’a pas envie d’aller chercher des poux au héros James Stark, celui-ci est plus que susceptible. Ceci dit, cela peut se comprendre, envoyé pendant 11 ans en enfer par d’autres magiciens qu’il croyait être ses amis, ça a de quoi en énerver plus d’un.
  • De la baston : check, il n’y a quasiment que ça, Stark tape sur tout ce qui bouge, tout le temps et il aime ça.  Ça m’a rappelé le film Une nuit en enfer réalisé par Robert Rodriguez.
  • Des dialogues au vitriole : check encore, rien à redire, il a de la répartie le Stark. Un petit extrait en prime :

« L.A. ne pose qu’un seul problème.
Cette ville existe.
C’est ce qui apparaît quand une bande de vieilles divinités lovecraftiennes s’enferment avec des starlettes du porno dans une suite du Château Marmont pour sniffer pendant un week-end des lignes de crack avec les tibias de Jim Morrisson en guise de pipette. Si le viagra et des vidéos interdites de Traci Lords ne vous font plus bander, les tentacules du Hentai japonais devraient vous le permettre. »

  • De l’humour : plein, bien noir.
  • Des créatures étranges : comme les Jade, uhhhhhhh sorte d’araignée avec un corps humain, sauf quand elle se transforme. Et forcément elle mange des humains.
  • Pas de romance : carrément pas. De vagues sentiments amicaux, les vestiges d’un amour disparu, mais qui servent surtout de terreau à la fureur et à la vengeance.

Voilà tous les ingrédients attendus et retrouvés dans ce livre, un très gros point positif.

Malheureusement, j’ai eu un problème avec le rythme du récit, car la baston même si j’aime bien ça, quand il n’y a que ça en continu ça devient lassant. Le scénario est toujours le même : Stark va à la confrontation, se bat et fini blessé. Au début j’ai beaucoup apprécié, à la fin plus vraiment. Une révélation de dernière minute, rend les capacités de Stark plus crédible (je me demande toujours comment il a fait pour tuer Azazel) et ramène un peu d’intérêt au récit. Mais elle arrive un peu tard. 

Au final une lecture qui m’a enchantée au départ et qui l’aurait fait jusque la fin, peut-être, si elle avait été un peu plus courte.   

D’autres avis chez : Blackwolf

n°46

Le dernier apprenti sorcier, tome 1 : Les rivières de Londres de Ben Aaronovitch

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Auteur : Ben Aaronovitch –  Editions J’ai Lu Collection Nouveaux Millénaires– Parution :  – 380 pages – prix : 18.50 € – genre : fantastique, urban-fantasy

 

Quatrième de couverture:

L’agent Peter Grant ne croyait pas aux fantômes, jusqu’au jour où un étrange personnage lui affirme avoir assisté au meurtre sur lequel il enquête. Un témoin providentiel. .. s’il n’était mort depuis plus d’un siècle ! Et Peter n’est pas au bout de ses surprises : recruté par l’énigmatique inspecteur Nightingale, il intègre l’unité de la police londonienne chargée des affaires surnaturelles. Au programme, traquer vampires, sorcières et autres créatures de la nuit ; faire respecter les divers accords passés entre les forces occultes de Londres ; réconcilier les divinités qui se partagent la Tamise, sans devenir esclave de leurs charmes ; et bien sûr apprendre le latin, le grec ancien et une montagne d’incantations bizarres et pour le moins rébarbatives. Peter doit en passer par là, s’il veut un jour devenir à son tour le dernier sorcier de Londres…
Voilà un livre qui lors de sa sortie m’avait furieusement tenté du fait de sa quatrième de couverture et de quelques échos sur la toile. Mais une fois entré dans ma bibliothèque il a dû sagement attendre d’en ressortir, comme beaucoup d’autres.
Mon ressenti :
Le début du livre nous donne rapidement le ton du récit : de l’humour très british, un héros pas très héroïque et beaucoup de surnaturel. Cela m’a tout de suite plu, un bon mélange savamment dosé. L’auteur va nous faire visiter les rues de Londres (on a l’impression d’y être) à la suite de Peter, qui est passé de policier stagiaire à élève sorcier, en ayant cru se retrouver à classer la paperasse. Cela peut sembler rocambolesque, mais pas de problème l’histoire se déroule sans accroc. Bien entendu ce n’est pas un long fleuve tranquille et notre héros va se retrouver à gérer les divinités des rivières, des fantômes… Bref une histoire palpitante jusqu’à la fin.
Ayant lu ce livre peu de temps après avoir été à Londres, j’ai adoré que l’auteur nous promène d’un quartier à l’autre. Loin du guide touristique, l’écriture allie flegme anglais, humour et actions.
Le personnage de Peter m’a beaucoup plus. Cet anti-héros débonnaire incarne le gentil pote, un peu à côté de la plaque dans son travail conventionnel de policier.  Son acceptation du surnaturel est peut être un peu rapide, mais son acharnement à apprendre des sorts fait plaisir à voir. Heureusement son maître Nightingale est là pour donner un peu de sex-appeal à l’histoire. Ce tome 1 ne donne que peu d’information sur ce personnage intrigant. 
Au final, une lecture qui m’a bien amusée. L’écriture m’a en plus beaucoup plu. Ce qui est sûr, c’est que je vais lire la suite des aventures de Peter.
D’autres avis chez : Licorne, Snow, Dup, Blackwolf, Herbefol

Escale à Londres 

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