Synopsis
A seize ans, Claire Danvers est une étudiante de génie, promise à un avenir brillant. Ses parents l’envoient pourtant s’enterrer à Morganville, dans une université au fin fond du Texas. Très vite, elle devient le souffre-douleur de la mafia manucurée du campus.
Claire trouve alors refuge dans la maison de ses rêves. Elle se lie bientôt d’amitié avec ses trois colocataires, Eve la gothique, Shane le rebelle au cœur tendre et Michael, musicien prodige qui ne sort qu’après le coucher du soleil.
Mais Claire n’est pas encore tirée d’affaire. Car à Morganville, certaines personnes ont les dents longues et, la nuit, les ombres sont habitées…
Année de parution française : 2010
Année de parution originale : 2006
Titre VO : The Morganville Vampires, book 01: Glass Houses
Je cherchais, par un beau dimanche (hier), une lecture rapide et récréative. J’ai donc pioché dans ma PAL un bouquin inscrit dans le Baby challenge Bit-lit. Il a tout à fait rempli son office, mais sans plus.
Lecture rapide, textes faciles à lire. On y découvre l’histoire de Claire, parachutée à la fac dans une ville où règne les vampires (j’ai du mal à adhérer à la théorie des parents qui ne voulant pas que leur fille de 16 ans surdouée parte trop loin, refusent qu’elle aille à Yale ou au MIT…). Elle y trouve des colocataires dans une maison bien particulière, qui deviennent tout de suite ses amis. On se demande tout de même pourquoi Claire ne part pas en courant quand sa future colocataire Eve lui explique que la ville est dirigée par des vampires (d’ailleurs pourquoi se restreignent-ils à une ville ???). Le décor est très rapidement posé et les aventures s’enchainent. Le concept d’une ville entière dirigée par des vampires où les humains passent des pactes avec eux pour vivre est certes intéressant (anecdote sympathique : les étudiants servent de 4h aux vampires quand ils viennent d’ailleurs, mais ceux-ci doivent tout de même respecter un pourcentage maximum de casse-croute). Un brin d’amourette, très peu de bagarre. Mais rien de plus.
Conclusion, un en cas plaisant, mais pas rassasiant. 5/10